« La réflexion critique d’Indiville a une valeur inestimable »

« Ce que nous apprécions beaucoup chez Bepuplic, ce sont la proactivité, la rapidité et la flexibilité d’Indiville. La réflexion critique des collaborateurs d’Indiville sur un problème de société/une tendance sociétale a une valeur inestimable. Les résultats de leurs études apportent toujours un contenu très intéressant et provoquent aussi chaque fois un débat de société comme cela a encore été le cas récemment avec une étude sur les habitudes de déplacement du Belge. Tout cela fait qu’il est extrêmement agréable de travailler avec Indiville. La qualité qu’assurent les collaborateurs est exceptionnelle. » – Safia Yachou – Senior PR Consultant Bepublic.

La récente étude précitée a été réalisée par Indiville à la demande de la Febiac, la Fédération de l’Industrie de l’Automobile et du Cycle en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg, en collaboration avec l’agence de RP Bepublic. Au total, 1.007 Belges ont été interrogés sur leurs habitudes de déplacement. L’enquête a été réalisée en ligne, entre le 8 et le 14 janvier 2019.

7 personnes sur 10 utilisent leur voiture pour se rendre au travail

Les files ne dissuadent pas les Belges de se rendre en voiture au travail. 7 Belges sur 10 utilisent leur voiture dans tous les cas. En cause, les temps de déplacement plus longs avec les transports en commun (38 %) ou les mauvaises correspondances (34 %). 36 % des personnes interrogées disent qu’il leur est impossible d’utiliser les transports en commun ou d’autres moyens de transport en raison de leur travail.

La combi-mobilité n’est pas une solution pour le Belge

Contrairement à ce que pensent de nombreux experts, 18 % seulement des personnes interrogées voient la combinaison de différents moyens de transport comme une solution. 45 % ne pensent pas que cette combi-mobilité puisse résoudre le problème des files. Même si les jeunes semblent plus positifs à ce sujet : près de la moitié des jeunes âgés de 18 à 30 ans pensent que la combi-mobilité peut apporter une solution.

 

Dans la presse

Les habitudes de déplacement (video) – RTL – TVI

Toute-puissance de la voiture : 7 Belges sur 10 n’ont pas le choix ! – La Dernière Heure

La mobilité « multimodale » loin de convaincre les Belges, selon une étude de la Fébiac – RTBF

Zeven op de tien Belgen gebruiken wagen om naar het werk te gaan – Knack

File of niet, 7 op 10 Belgen met wagen naar werk – HLN

 

Le Belge est de moins en moins déconnecté en vacances

À quelle fréquence le Belge part-il en moyenne en vacances ? Où aime-t-il le plus partir et quel est le plus important pendant ses vacances ? Pour la troisième année d’affilée, Indiville a étudié le baromètre des vacances de Touring.

Vacances au soleil et à la plage en Europe toujours en tête

96 % des vacanciers belges partent au moins une fois par an en vacances en Europe. La France (57 %), l’Espagne (29 %) et les Pays-Bas (27 %) forment le top 3 des destinations de vacances préférées. Les vacances au soleil et à la plage arrivent toujours en tête (23 %), mais les circuits ont également la cote (11 % en 2017 contre 8 % en 2016). Trois vacanciers sur quatre préfèrent toujours les vacances en voiture (75 %), devant les vacances en avion (63 %), en train (16 %) et en car (12 %).

Réservations en ligne et vacances connectées

60 % en moyenne réservent leurs vacances en ligne et passent aussi toujours plus de temps sur internet une fois arrivés à destination. La consommation de données des Belges à l’étranger a plus que triplé depuis la suppression des frais de roaming dans l’Union européenne. Autre constat marquant : nous avons du mal à nous passer d’internet même sur les lieux de vacances où des frais de roaming (très élevés) sont toujours appliqués.  41 % des vacanciers restent aussi accros aux réseaux sociaux en vacances. Un chiffre qui culmine même à 71 % chez les 18 à 34 ans.

Vacanciers plus rassurés

Si le terrorisme influençait encore quelque peu notre comportement en matière de voyages lors du précédent Baromètre des vacances (17 %), nous voyons que la peur a diminué en 2017 et ne concerne plus que 13 % des vacanciers. Nous avons plus peur de tomber malades (47 %) en vacances ou d’être impliqués dans un accident (43 %). Malgré cela, 39 % ne sont pas intéressés par une assistance médicale ou une assurance dépannage à l’étranger.

Enquête nationale sur le bonheur

Le professeur en bonheur Lieven Annemans (UGent) et la compagnie d’assurance NN ont recherché, dans le cadre de l’Enquête nationale sur le bonheur, tous les facteurs pouvant influencer le bonheur des Belges. L’objectif était de définir précisément le concept du bonheur et d’adresser ensuite les observations aux responsables politiques. Au total, 3.770 personnes ont participé à cette étude.
Les différents résultats ont été dévoilés sur la plateforme www.belgesheureux.be de mars 2018 à mars 2019.

La conclusion générale de cette enquête est que le Belge est modérément heureux, alors qu’un groupe important de Belges est soit très heureux, soit très malheureux. Autre élément marquant, les seniors belges sont en moyenne plus heureux et moins seuls que les millennials.

Travail, argent et santé
L’enquête montre en outre que notre travail a un impact important sur notre vie et donc sur notre bonheur. Notre travail représente ainsi en moyenne près d’un cinquième de notre bonheur, une proportion qui atteint même près d’un tiers chez les indépendants contre un dixième à peine chez les fonctionnaires.

L’enquête confirme également l’impact de notre santé sur notre bonheur, alors que l’argent et la tranquillité d’esprit financière contribuent aussi clairement au bonheur. Le sentiment de bonheur atteint dans ce cas un pic avec des revenus compris entre 4.000 et 4.500 €, mais ceux qui gagnent plus ne sont pas plus heureux.

Expériences de jeunesse
Des professeurs inspirants et des liens d’amitié de qualité noués durant notre jeunesse ont clairement un impact positif sur notre sentiment de bonheur plus tard, à l’inverse du harcèlement, très néfaste.

Autonomie, implication et compétences
L’étude constate aussi que le fait de pouvoir prendre soi-même des décisions (Autonomie), d’avoir un réseau de relations (Implication) et d’avoir confiance dans les choses que l’on fait (Compétences) contribuent à notre bonheur.

 

La plateforme www.belgesheureux.be permet de tester son propre score du bonheur et de le comparer à celui des autres Belges grâce au Bonheur-o-Mètre. Le site propose aussi des conseils d’experts en bonheur pour une vie plus heureuse.

Grande enquête sur la mobilité : le Belge n’attend pas monts et merveilles de la voiture électrique

Comment le Belge voit-il l’avenir de notre mobilité ? Qu’attend-il du monde politique et qu’est-il lui-même prêt à faire pour une autre mobilité (plus propre) ? À la demande de Touring, Indiville a réalisé une enquête nationale auprès de plus de 6.300 personnes. Conclusion : le Belge ne croit pas en une seule solution qui pourrait constituer la panacée, mais plutôt en une combinaison de moyens et de solutions de transport.

51 % des répondants croient plus dans des villes sans voitures (51 %) que dans la voiture électrique comme solution au problème de mobilité. 68 % affirment avoir du mal à limiter les déplacements en voiture. 79 % trouvent du reste que les pouvoirs publics n’investissent pas assez dans les alternatives à la voiture. Si la taxe kilométrique devait un jour être instaurée pour les voitures, 16 % des personnes interrogées laisseraient plus souvent leur voiture au garage, surtout pour les petits trajets. 42 % paieraient simplement la taxe kilométrique, alors que 23 % prendraient des routes moins chères.

La voiture reste le moyen de transport préféré

La voiture est plus rapide et les transports en commun sont mauvais ou pas disponibles. Telles sont les deux grandes raisons pour lesquelles le Belge continue à préférer la voiture. La voiture reste de loin son moyen de transport préféré, tant pour le trajet domicile-travail (63 %) que pour aller à l’école (66 %). La préférence pour la voiture est plus prononcée en Wallonie (73 %) qu’en Flandre (61 %) où le vélo enregistre une note très honorable (20 %). C’est à Bruxelles que les transports en commun sont les plus utilisés avec une note de 33 %.

Onderzoek naar e-invoicing bij burgers, bedrijven en accountants (2014-2016)

Project

Indigov (nu Indiville) voerde in 2014, 2015 en 2016 een barometer uit over de vooruitgang inzake e-invoicing in België. Dit vormt een opvolging van de metingen die Indigov in 2013 uitvoerde. Intussen is reeds voorzien dat het onderzoek ook in 2015 zal worden uitgevoerd.

Het onderzoek werd uitgevoerd bij drie verschillende doelgroepen:

  • Belgische bedrijven
  • Belgische consumenten
  • Boekhouders en accountants

Onderzoek

Monitoring van de vooruitgang inzake e-invoicing in België door het in kaart brengen van:

  • Gebruiksinteresse en –intentie
  • Wenselijkheid
  • Barrières en stimulatoren
  • Houdingen
  • Gedrag

De Lijn : enquête du personnel

Approche

Indigov (actuellement Indiville), iNOSTIX et Levuur ont effectué pour la période 2014-2018 le contrat-cadre concernant l’enquête du personnel pour la société De Lijn.

Afin de mesurer la situation et l’ambiance de travail, un outil spécifique a été développé sur base d’une recherche scientifiquement fondée. Contrairement à une enquête classique de satisfaction qui mesure le taux de satisfaction des employés sur base de quelques caractéristiques de la situation quotidienne au travail, Indigov-iNostix apporte aussi une image concrète de la façon dont les employés vivent cette situation et leur implication sur leur motivation, leur bien-être et leur degré de satisfaction.
Les résultats de la recherche sont des recommandations orientées vers l’action qui ont un impact immédiat sur l’attraction, la force de rétention et la performance de l’organisation. Nous regardons une enquête de satisfaction et d’engagement sous une perspective HR stratégique plus large. L’ «executive view » de ce qui se passe dans l’organisation est le but final. Les résultats de la recherche sont des recommandations orientées vers l’action directement liées aux RH et à l’organisation. Cette approche différente est possible grâce à une expertise RH de haut niveau, à la fois théorique et pratique.

Exécution

Le consortium a fait cette recherche de A à Z.

Le Limbourg plus propre qu’avant…

Projet

Indiville a interrogé en 2014, pour le compte de Limburg.net un échantillon représentatif de Limbourgeois et de résidents de la région de Diest sur leur relation avec les déchets ménagers.

Limburg.net voulait avoir une meilleure compréhension de l’attitude des habitant vis-à-vis du traitement des déchets ménagers ainsi que de ce que cela leur coûte.

L’étude a également été axée sur

  • l’attitude envers les déchets (traitement des déchets)
  • l’utilisation du service de collecte des déchets (collectes, les parcs de recyclage) et son degré de satisfaction
  • la perception de la marque Limburg.net (notoriété – spontanée ou suggérée)
  • l’évaluation de la communication

Développement durable en province d’Anvers

Au printemps 2014 Jo Steyaert a réalisé pour le compte de la province d’Anvers une étude sur le comportement écologique et durable dans la province.
Les thèmes suivants ont été abordés :

  • développement durable au quotidien
  • habiter durable
  • chauffage
  • eau potable
  • mobilité
  • nourriture

Nous avons interrogé au total 2444 habitants de la province d’ Anvers répartis équitablement par sexe et par âge, tenant compte de l’origine urbaine ou non urbaine ainsi que de la formation de l’échantillon.
Certaines perceptions et tendances existantes ont été confirmées par l’étude, mais celle-ci a aussi relevé des nouveaux défis pour la province en matière d’habitat durable. En automne, la province annoncera les résultats.

Nouveau concept pour le suivi du fardeau administratif aux Pays-Bas

Projet

Indiville a développé un modèle innovant de mesure de suivi de l’approche de travail personnalisée aux Pays-Bas.

Que voulait le client ?

Le gouvernement travaille déjà depuis des années à la réduction du fardeau administratif. Mais l’évolution des idées et les innovations sociales exigent une politique de réglementation et le contrôle du fardeau administratif s’impose. Le défi est de continuer à diminuer le fardeau afin de stimuler la croissance de l’économie et de créer de l’emploi supplémentaire. Pour atteindre cet objectif, le gouvernement utilise l’approche personnalisée. Bien sûr, le gouvernement veut savoir si cette approche est la bonne ou doit encore être adaptée. C’est pourquoi nous avons développé en collaboration avec les autres partenaires, un nouvel outil de mesure.

Leçons tirées de 25 ans de mesure et d’approche du fardeau administratif

Notre proposition est basée sur une expérience de plus de 25 ans en mesure et traitement du fardeau administratif. La leçon la plus importante est que nous ne mesurons pas pour savoir, mais nous mesurons pour améliorer: ne pas mesurer pour une raison, mais mesurer avec un but. L’outil de mesure est donc un moyen. Un moyen qui sert trois objectifs :

  1. La mesure de l’impalpabilité,
  2. Evaluer la politique et les mesures sur du concret, et
  3. Offrir au gouvernement et aux entreprises un service qui leur permet de résoudre les problèmes et d’éliminer les obstacles.

D’après l’enquête scientifique, il semblerait que nous avons une chance unique à saisir pour y parvenir. Tous les ingrédients sont réunis, il suffit juste de les combiner de façon intelligente.

Notre proposition en bref

La métaphore de notre modèle est un moulin à vent moderne : forme simple mais outil avancé et très sophistiqué pour générer l’énergie de façon optimale. Nous avons développé notre outil ‘sur mesure’ de façon similaire : clair et simple pour les entrepreneurs mais techniquement très développé.

Les trois accessoires de pointe de l’outil sont :

  1. Le cadre de mesure scientifiquement étayé.
  2. Le modèle d’échantillonnage.
  3. L’outil d’enquête.

Le modèle conceptuel

Ce qui est unique dans notre approche est la combinaison que nous faisons entre les indicateurs de perception objectifs et subjectifs ainsi que la possibilité donnée aux entrepreneurs de donner et de recevoir du feedback. Grâce à une bonne orientation qui est adaptée à un secteur personnalisé, nous savons quelles questions nous voulons poser et à qui. Avec un ensemble d’indicateurs de QETP (les indicateurs standards de SKM complétés par des indicateurs émotionnels), nous nous informons sur la perception objective et subjective auprès du répondant autant au niveau des problèmes que des solutions.

L’analyse montrera dans quelle mesure les entrepreneurs arrivent à identifier les problèmes, à apprécier les solutions et le rapport entre les deux. De cette manière, nous garantissons que notre outil est une valeur ajoutée immédiate pour toutes les parties.

Analyse et rapportage

L’outil de mesure nous donne des résultats de recherche définitifs (données) qui seront en première instance et au travers d’analyses quantitatives et qualitatives transposés en informations pertinentes indiquant des différences significatives.
Le résultat final sera constitué d’un tableau de bord en ligne avec des explications concernant les principaux résultats de l’étude (tableaux et graphiques) et la formulation de conclusions à trois niveaux :

  1. Rapport personnalisé pour les sociétés participantes qui permet aux entreprises de directement recevoir la valeur ajoutée de l’outil.
  2. Rapports sectoriels qui donnent un aperçu de cette approche personnalisée au sein d’un secteur et qui met en avant les améliorations apportées et les nouveaux obstacles.
  3. Un rapport pour le gouvernement avec les tendances et les développements de façon à faire des ajustements pour les entreprises là où c’est nécessaire suivant les résultats obtenus, et réduire davantage les coûts de réglementation des entreprises ainsi que optimiser la mise en œuvre de la réglementation nationale et locale.

Évaluation de la performance du e-Gouvernement centré sur l’utilisateur en Europe

Projet en bref

Indiville était responsable de l’enquête de consommateurs dans l’étude de l’UE sur les Services Publics en ligne ‘Digital by Default, or by Detour ?’ Évaluation de User Centric eGovernment performance en Europe – eGovernment Benchmark 2012. Jo Steyaert était le chercheur principal de ce projet.

L’exercice de cette enquête d’utilisateurs a offert une image nouvelle et fidèle de la demande et de la façon dont les citoyens européens perçoivent les services publics en ligne. Il semble que c’est la première fois qu’une tel exercice ait été réalisé à cette échelle, révélant des idées représentatives tant au niveau national que de l’UE. L’enquête, c’est 28 000 citoyens utilisant Internet dans 32 pays de l’UE qui ont répondu à 27 questions concernant les 19 services les plus courants. Elle donne une image fiable à 95 % des points de vue des 600 millions de citoyens européens.

Le rapport complet de cette étude peut être téléchargé ici.

Description complète du projet

Indiville était responsable de la conception de l’enquête quantitative de l’utilisateur : à savoir le développement de la méthodologie de la recherche, la conception du questionnaire, la base de sondage, la mise en œuvre, le travail de terrain et les rapports de l’enquête.

L’enquête a été menée dans l’UE27, ainsi qu’en Croatie, en Norvège, en Turquie et en Islande. En 2011, l’indice de référence a été revu et 2012 était la première année d’application de cette nouvelle référence. Il portait sur quatre domaines principaux, issus des priorités politiques du plan d’action e-gouvernement : le gouvernement autonome, le gouvernement transparent, le gouvernement axé sur les résultats.
Cette enquête a ciblé la population internet de 32 pays avec un total de plus de 600 millions d’habitants. Cette population internet représente 72 % de la population totale entre 16 et 74 ans (selon les données d’Eurostat sur l’utilisation d’Internet par les individus au cours des 12 mois précédents). Pour chaque pays, un échantillon représentatif de la population Internet a été déterminé (entrelacé par âge et par sexe et représentant des régions NUTS 1). La population cible a été atteinte grâce à des groupes d’enquête en ligne. Les résultats de l’enquête auprès des utilisateurs européens représentent un total de 28 177 répondants.
L’enquête a porté sur 27 questions :

  • Profils d’utilisateurs et groupes cibles : catégorisation des utilisateurs/non utilisateurs de l’e-Gouvernement (démographie, utilisation d’Internet, niveaux de confiance dans l’utilisation d’internet, les contacts avec le gouvernement, …).
  • L’utilisation des services du e-Gouvernement au cours des 12 derniers mois, y compris l’utilisation du canal et les préférences, et la probabilité d’une utilisation future.
  • La satisfaction des utilisateurs : satisfaction par rapport à d’autres facteurs explicatifs tels que la satisfaction avec les e-Services non gouvernementaux (e-banking, réseaux sociaux, e-commerce), les attentes des utilisateurs et la réalisation des objectifs .
  • Les avantages perçus (impact) : avantages perçus de l’utilisation des canaux et des services du e-Gouvernement.
  • Obstacles à l’utilisation des services du e-Gouvernement, y compris la conscience : les facteurs explicatifs qui font que les citoyens n’utilisent pas le canal en ligne, y compris le manque de prise de conscience.