Seulement 9 % des Belges protègent leur famille contre les conséquences financières d’un décès

Selon une vaste enquête d’Indiville pour l’assureur-vie NN, la famille est ce qu’il y a de plus important pour le Belge. Plus encore que le bonheur et la santé. Pourtant, 1 Belge sur 10 seulement protège ses proches contre le fait où il viendrait à décéder subitement. Plus de la moitié des ménages sont pourtant vulnérables financièrement à ce moment-là.

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Financièrement vulnérables

Le risque de difficultés financières est le plus élevé lorsque le soutien de famille décède entre l’âge de 35 et 49 ans. Les familles monoparentales représentent le groupe le plus vulnérable. Pas moins de 79 % des parents isolés reconnaissent que leur famille serait financièrement vulnérable en cas de décès. Malheureusement, 5 % seulement des parents isolés sont aussi effectivement protégés aujourd’hui.

Voiture mieux assurée que famille

Parmi les Belges en général, seuls 10 % ont pensé à protéger leurs proches au cas où ils viendraient à disparaître subitement. Un pourcentage qui contraste furieusement avec la manière dont le Belge protège sa voiture : 75 % ont une assurance pour leur voiture. Or, l’enquête montre aussi que nous ne trouvons pas forcément la voiture très importante dans notre vie.

L’assurance décès relativement méconnue

Protéger sa famille contre les conséquences financières d’un décès soudain est possible avec une assurance décès. Plus de la moitié (54 %) des Belges avouent ne pas savoir ce qu’est une assurance décès. Et 44 % ne savent pas qu’une assurance décès n’est pas la même chose qu’une assurance obsèques.  Les Belges n’ont également pas la moindre idée de ce que coûte une assurance décès. Près de 9 Belges sur 10  (88 %) âgés de 18 à 34 ans surestiment la prime. Chez les 35-49 ans, 75 % surestiment la prime et c’est aussi le cas d’un tiers des plus de 65 ans (28 %). Un Belge sur cinq (20 %), enfin, n’a jamais vraiment réfléchi à sa mort. Le sujet reste un des grands tabous de notre société.

À propos de l’enquête

Pour l’enquête commandée par NN, Indiville a interrogé 1.081 Belges âgés de 20 à 79 ans, dont 57 % de néerlandophones et 43 % de francophones ; et 49 % d’hommes et 51 % de femmes. L’enquête s’inscrit dans le cadre de la campagne « J’aime j’aime ta vie » de NN, qui invite les gens à parler avec leurs proches de ce qui se passera le jour où ils ne seront plus là.

 

Dans la presse

« Calculez la prime d’une assurance décès pour protéger vos proches » – L’Echo

« Le Belge ne voit pas l’intérêt de prendre une assurance décès » – La Libre

« Weinig Belgen verzekeren gezin tegen gevolgen vroegtijdig overlijden » Spaargids

« Overlijden is meer dan emotioneel verlies: helft gezinnen in armoede als kostwinner sterft »  – HLN

 

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