L’entrepreneuriat féminin : motivations et difficultés

Qu’est-ce qui pourrait stimuler l’entrepreneuriat au féminin ? Seul un indépendant sur trois créant sa propre affaire dans notre pays est une femme. Indiville a fait le point de leurs motivations, difficultés et avantages dans une grande enquête.

entrepreneuriat féminin

Qu’est-ce qui inquiète les femmes entrepreneures ?

61 % des femmes chefs d’entreprise interrogées sont heureuses d’avoir franchi le pas vers l’entreprise indépendante. 38 % ont envisagé de cesser leurs activités l’année écoulée. Elles n’ont pas tellement peur de l’importante charge de travail (un peu plus de la moitié travaillent 6 jours sur 7), mais bien de la pension peu élevée (40 %), de l’éventuelle perte de revenus et des conséquences de la maladie, de l’incapacité de travail et du décès (25 %). Elles ont également du mal avec :

  • Les variations des revenus (24 %)
  • La charge de travail (24 %)
  • Ne pas savoir comment faire tourner l’affaire en cas de maladie, incapacité de travail ou décès (22 %)
  • Le travail administratif (20 %)

À propos de l’enquête

Dans le cadre de cette enquête, Indiville a interrogé 1.948 Belges, dont 1.007 femmes entrepreneurs. Les participants ont été questionnés sur leurs situations aujourd’hui et au démarrage de leur entreprise. Ainsi que sur leurs attentes pour l’avenir. L’assureur-vie NN veut, avec le soutien du Syndicat Neutre pour Indépendants SNI, utiliser les résultats pour déterminer notamment comment stimuler l’entrepreneuriat féminin en Belgique.

 

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